mercredi 16 juin 2010

La France est « footue » pour un mois.

En pleine Coupe du Monde que ça avait même pas commencé qu'on en entendait parler jusqu'à la planète Mars et que ça créait des tensions politiques, je ne pouvais pas ne pas écrire une bouse puante sur ce sport hautement viril.



Le football est un sport collectif opposant deux équipes de 11 opossums en possession de deux pieds et nécessitant un ballon rond, un rectangle de pelouse, de la peinture blanche et deux buts.
Le football est la femme du célibataire mais surtout... la maîtresse de l'homme marié !

Génèses du jeu
Le football a été inventé par Chuck Norris qui s'est inspiré des britanniques, qui ont eux-mêmes pompé sur les italiens, qui ont eux-mêmes pompé sur les grecs, grands adeptes des jeux de balles...
La FIFA (Foutoir d'Imbéciles Footballeurs Aliénés) est fondée par hasard ou par erreur en 1904.
La religion de cette fédération est qu'un pays n'existe pas s'il ne possède pas sa bière, sa compagnie aérienne, une équipe de football et l'arme nucléaire. Mais ce qui compte surtout, c'est le football.
Comme l'a dit Serge Uzzan « Les anglais ont inventé le football, les français l'ont organisé, les italiens le mettent en scène ».
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Le ballon
C'est un objet de forme sphérique en peau de zébu, fabriqué par des palestiniens entre 02 heures 00 et 04 heures 00 du matin et cousu par des sud-coréens avec des boyaux de chèvres. Une virgule est ensuite apposée par une riche firme américain.





Le terrain
L'attraction terrestre d'un terrain de football est quasi inexistante, contrairement à un terrain de rugby où les joueurs sont en permanence plaqués au sol.
Newton n'a pas eu la chance de pouvoir expliquer ce phénomène mais on sait aujourd'hui que la force des joueurs de foot est décuplée dès lors qu'ils pénètrent sur le rectangle gazoneux. Même les crampons ne suffisent pas à endiguer ce phénomène. Si par mégarde, lors d'un dribble, un joueur venait à se casser l'ongle de l'auriculaire droit en frôlant un cil d'un autre joueur (surtout s'il avait du mascara), il sera comme projeté dans les airs à une hauteur de 15 mètres et retombera telle une danseuse classique pour finir en 28 roulades arrières vrillées aux pieds de l'arbitre qui soit « n'aura rien vu », soit sortira son sifflet avant de se faire traiter de gnou enculeur de mouches.
Mais ce qui fait friser de la moustache notre cher José B, écolo invétéré, c'est qu'en pleine canicule, t'as pas le droit d'arroser ton pauvre pied de tomates cerises mais la pelouse des terrains de foot, elle, elle est toujours bien verte. Osef tes 5 fruits et légumes par jour, là on peut pas, y'a foot.

Le but du jeu

Le football est un combat d'otaries en rûte qui se font des passes avec un ballon qui mériterait plus d'être payé que les joueurs eux-mêmes tellement il prend des torgnoles dans sa gueule. Leur motivation est de marquer le plus de but possible, même s'il arrive parfois qu'ils oublient leur réelle mission. On sait pas pourquoi, mais les joueurs de foot ont tendance à courir avec leur maillot relevé sur la tête, comme s'ils se lançaient des défis « tient, si je traversais le terrain les yeux bandés ? Même pas peur ! ».

Les conviés
Les joueurs sont au nombre de 11 par équipe avec quelques remplaçants flanqués sur un banc sous une cage de verre. Ils peuvent l'attendre longtemps le bus ceux-là... Bref.
Au milieu de cette horde est présent un arbitre, ou plutôt un bouc émissaire qui peut bien dire c'qu'il veut, tout le monde s'en fout de sa gueule. Il passe son temps avec ses cartons et son sifflet à traverser le terrain dans tous les sens. Dieu sait qu'il s'agit d'une mission au combien difficile pour lui, puisque l'attraction terrestre applicable aux joueurs de foot sur le terrain ne le concerne pas. De toute manière, quoi qu'il dise, quoi qu'il fasse, il passe toujours pour l'enculé de service.
Si les matches commençaient par les tirs au but, on gagnerait du temps...
De chaque côté du terrain s'excitent deux entraîneurs qui gueulent sur leurs progénitures parce qu'elles font toujours de la daube.
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Les supporters
C'est une bande de gueux névrosés qui s'agitent dans les tribunes comme des Chocopops dans du lait chaud. Ils se balancent des strapontins dans la gueule et font péter des explosifs dans le dos des supporters de l'équipe adverse.
Certains gueux déballent leurs attributs sexuels et traversent le terrain à poil suite à un pari stupide entre buveurs de bière.
Par chance, cette année ils ne sont pas venus les mains vides : ils ont apporté un instrument très harmonieux et au son mélodieux d'un boeuf à l'agonie, beuglant, prisonnier d'un essaim de frelons exaltés : le Vuvuzela.
Que les gueux se réjouissent, Xbox 360 vient d'expérimenter Vuvuzela Hero, bientôt disponible dans les points de vente.
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Evolution
Le football attrapa une longue maladie qui tôt ou tard, contribuera à sa disparition certaine : le fric. Paradoxalement, c'est un virus qui le détruit et le maintien en vie en même temps.
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Quoi qu'il en soit, on est pas responsable de la nullité de nos joueurs. Alors, on dira : On a gagné ou ils ont perdu. Nuance.
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Et comme le dit si bien le créateur d'un groupe Facebook : « Un coup d'boule pour Zizou, un coup de main pour Henry et un coup de queue pour Ribery. Ca descend, ils vont bientôt jouer avec leurs pieds » !

dimanche 6 juin 2010

Plus Belle la Vie

Plus Belle la Vie, également connu sous le sigle PBLV est un feuilleton d'horreur français interdit aux moins de 28 ans créé par Alfred Hitchcock et produit par Maxime Chattam et Stephen King, mettant en scène des SDF, des aliénés mentaux et des prostituées bulgares.
Ce programme est diffusé sur Canal Q depuis le 30 Août 2004 du Lundi au Vendredi en deuxième partie de soirée pour ne pas heurter le jeune public. La série est diffusée chez les belges avec 7 épisodes d'avance pour qu'ils puissent comprendre en même temps que nous.


Acteurs :
La distribution d'origine comporte 17 acteurs principaux issus du conservatoire d'art dramatique de Baigneux-les-Juifs-sur-Baise.

Un succès contesté :

La série connaît d'abord un lancement difficile. Le peu d'audimat résultait du fait que les téléspectateurs, après les infos régionales, avaient laissé Canal Q allumé pendant qu'ils étaient partis chier.
Et, petit à petit, le scénariste ajouta un peu de cassoulet, de discrimination positive, du cul, des viols collectifs, du porno, de la bouillabaisse, plein de sang, des suicides au fil à coudre et au yaourt périmé, ce qui attira indéniablement le français moyen dans la spirale infernale de l'addiction à Plus Belle la Life, qui une fois l'heure fatidique arrivée, abandonne toute occupation parce que « j'peux pas y'a PBLV ».

Synopsis :

Tout commence à Marseille sur une place où c'est tout le temps le bordel.
Alors qu'un homme attrapait par derrière la serveuse à grosses miches du bar « le Mistral », cette dernière lui avoue que son père est en fait son fils. Accablé par cette lourde découverte, l'homme pousse son fils dans les calanques et le pauvre malheureux meurt bouffé par un morse à poils durs.
La serveuse balance tout aux flics et se fait larguer au parloir des « Baumettes » (centre pénitentiaire de Marseille).
Dégoûtée des mecs (car les mecs c'est trop nul), elle se prostitue pour pouvoir se payer une greffe de pénis.
Quand le père du fils du père (ouais j'ai pas tout saisi) sort de tôle, Maria Conchita, la mante religieuse taulière de l'Hôtel « Le Select » cafte tout. L'homme part donc à la recherche de cette petite pute de serveuse aux neurones tétraplégiques et lui découpe les miches à la scie circulaire. Puis, il viole Maria Conchita dans la paroisse parce que c'est pas bien de balancer.
Pour se faire pardonner, il l'invite à un repas dansant où elle lui jette une assiette de brandade de morue à la tronche parce qu'elle avait dit « pas avant le mariage ». Vexé, l'homme l'empale à côté de Jésus, après l'avoir de nouveau violé sous les yeux de Dieu.
Le malfaisant meurt étouffé avec un téton de la serveuse qu'il avait congelé.

A l'issue de cette intrigue au combien passionnante, un nouveau casting est réalisé parce que ce con de scénariste a fait crever tous les personnages.

En bref, dans tout ça, je ne vois pas bien où elle est « Belle la Vie ».
 

Puis, c'est la débandade. Le scénariste ajoute des noirs, des arabes, des homosexuels, des prostituées et ex-tolards réinsérés. On ne sait pas bien pourquoi mais il paraît qu'il aurait serré une certaine Ségolène R...
Puis, corrompu par Nico, il fourre des arabes dans la police pour montrer que ce ne sont pas eux qui volent (stratagème électoral 2012).

Une série modèle :
Pour conquérir les jeunes, la série est désormais diffusée en access-prime-time à 20 heures 10. On dénombre 6 millions de téléspectateurs du fait que chacun d'eux se reconnaît dans les personnages de la série. Qui n'a jamais été bouffé par un morse à poils durs ? Qui n'a jamais été violé ? Qui n'a jamais fait de tôle plusieurs fois dans sa vie ? Qui n'a jamais eu la gaule en buvant un jus de tomate servis par la cruche du « Mistral » ? Qui ne s'est jamais fait filmer pendant qu'il baisait un labrador ? Qui ne s'est jamais pris 15 balles dans le corps sans être mort ?

Un succès incontesté :
Le succès du feuilleton dépasse l'entendement et révèle des comportements pervers, violents, vulgaires, intolérants et humiliants.
En 2010, un groupuscule a brûlé le siège de France 3 à cause des Jeux Olympiques qui ont annulé la diffusion de PBLV pendant une semaine.
Roland Garros a été tué à coup de hache par Roland Marci qui ne supportait pas la concurrence. Criblé de dettes suite à la baisse de son chiffre d'affaire, il a échangé Maria Conchita contre un dromadaire marocain.


La désillusion :
Au risque de casser le mythe (si si je sais que tu m'adules), je dois t'avouer que je suis une fervente téléspectatrice névrosée, paraphrénique et déséquilibrée de cette série pourave mais j'assume. Si vous voulez m'aider à m'en sortir et à me battre contre l'addiction à cette drogue dure, vous pouvez m'envoyer vos dons à l'adresse indiquée sur mon profil. J'accepte tout type de paiement.